Les auteurs présents au salon de l'édition 2015 :
Les biographies ont été rédigées par les auteurs eux mêmes.
Cicéron Angledroit, alias Claude Picq, est né fin 1953 à Ivry sur Seine (94) et a toujours vécu en banlieue parisienne. Il a été poursuivi, péniblement, par les études (faute de les avoir poursuivies lui-même) jusqu’au Bac et est aussitôt entré dans la vie active par la voie bancaire (secteur en marge duquel il évolue toujours). Comme tout un chacun il a fondé une famille, puis une autre. Il traverse son temps avec une forte conscience de sa brièveté et s’étonne chaque jour de la vacuité humaine. Les règles, la hiérarchisation de la société, les croyances sont pour lui autant de notions insondables quand il se replace dans cet univers sans fin et ce temps sans limites qui lui servent de décor. Très tôt il a eu goût pour la lecture. Notamment les romans. Tout y passait, Céline, Dard, Mallet et bien d’autres. Et très tôt aussi il a ressenti le besoin d’écrire. Mais ses velléités littéraires ont été longues à aboutir. Un premier roman en 1994 (Les cinq doigts de Dieu) où il règle ses comptes pêle-mêle… Et puis trois autres depuis (« Sois zen et tue-le », « Nés sous X » et « Fallait pas écraser la vieille », éditions Publibook) dans lesquels il utilise l’humour pour exprimer ses quatre vérités sans esprit revanchard (a-t-il une revanche à prendre d’ailleurs ?). Ces trois derniers romans en entraineront d’autres…s’il a le temps et l’envie…
A suivre !
http://c-angledroit.publibook.com
Ecrivain depuis 1983 (45 livres) chez Grasset, Points, Ring, Albin-Michel, Le Livre de poche, Fleuve Noir, etc.
Organisateur d'événementiel avec des "Nuits Serial killers" composées de documentaires et de films que Stéphane Bourgoin présente lui-même. Ainsi que des nuits films noirs, films policiers, etc.
Depuis 1979, Stéphane Bourgoin a interrogé plus de 70 serial killers à travers le monde dont Gerard Schaefer, Ed Kemper, Ottis Toole, Stewart Wilken, Brian Rosenfeld, Joseph Baldi, Elmer Wayne Henley, etc.
Auteur de dizaines de documentaires TV depuis 1991.
Créateur de trois séries TV documentaires chez Planète ("Serial killers, Stéphane Bourgoin enquête") & Planète Justice ("Dans la tête d'un tueur en série avec Stéphane Bourgoin" et "Stéphane Bourgoin raconte") en 2010, 2011 & 2012.
Directeur de la collection de poche "Points Crime" depuis avril 2014.
Directeur de la collection "Murder Ballads" chez Ring depuis 2013.
Stéphane Bourgoin a été conférencier au Centre national de formation de police judiciaire de l'Ecole de la Gendarmerie nationale à Fontainebleau pendant plus de dix ans.
Conférencier auprès de médiathèques, centres culturels, des entreprises en France et à l'étranger.
Editeur de DVD (collection "Serial Polar" chez Bach Films), auteur d'ouvrages sur le cinéma ("Série B", "Terence Fisher", "Roger Corman", "Richard Fleischer", "Le Cinéma X"), spécialiste du film noir & policier.
Anthologiste de plus de cent recueils de nouvelles (Rivages, Livre de poche, NéO, Fleuve Noir, etc.).
http://www.au-troisieme-oeil.com
Hervé Commère a 40 ans. Il a été patron de différents bars dans le grand ouest. Aujourd'hui, il vit à Paris et travaille dans une librairie.
Ses romans parlent de l'imprévu surgissant dans la vie de quelqu'un qui n'a rien vu venir, et tient à comprendre dans quoi il a mis les pieds. Ils sont traduits en Chine et au Japon. Il attend avec impatience qu'on l'invite à un salon là-bas. A bon entendeur...
Né dans le sud de France en 1974, David Coulon a commencé par écrire beaucoup de nouvelles, en publier en revue papier (L’ours Polar, Lignes Noires, etc…) et à la radio (RTBF). Puis, il est devenu psychologue, metteur en scène de théâtre. Mais il n’a jamais cessé d’écrire.
Son premier roman, "Dernière fenêtre sur l'aurore" (Editions ActuSF) a été nommé pour le prix "Nouvelles Plumes" par le blog de lecteurs "Plume Libre", pour le prix "balai de la découverte-prix du premier roman noir" par le blog "concierge-masque.com". Il a fait également partie de la sélection du collectif polar des bibliothèques de Paris.
Dans le cadre du théâtre, il organise des lectures théâtralisées de nouvelles policières, avec les éditions Numériques Ska dans tous types de lieux (chez les particuliers, bibliothèques, restaurants, galeries d'art, etc...).
David Coulon a remporté en février 2015 le prix VSD du polar - Coup de Coeur de Franck Thilliez.
Née à Toulouse en 1974, Céline DENJEAN grandit dans les Hautes-Pyrénées. Bercée par Brassens dont ses deux parents sont admirateurs, elle est très tôt marquée par ses textes empreints d’humanisme, de libre pensée et de poésie. Durant toute son enfance, Céline évolue au milieu des livres accumulés par ses grands-parents maternels, anciens libraires, et elle développe très tôt son goût pour les Belles Lettres.
Après des études de droit dans « la ville rose », Céline cède à son attrait pour la psychologie et les sciences humaines en intégrant la formation d’Éducatrice Spécialisée. Depuis huit ans, Céline DENJEAN est chef de service auprès de jeunes présentant un handicap mental et elle consacre son temps libre à sa passion : l’écriture. Celle-ci lui permet de laisser libre cours à son imagination, de s’immerger dans des environnements différents et de croquer des personnages à sa guise. À ce jour, ses diverses productions sont d’un genre hétéroclite même si elle a une incontestable prédilection pour le roman noir. « Voulez-vous tuer avec moi ce soir ? » (initialement intitulé « Kaléidoscope des horreurs ordinaires ») est son premier roman édité mais quelques autres attendent de voir initialement le jour !
Page Facebook de Céline Denjean
Prix VSD 2014 des lecteurs : Celui qui ne meurt jamais , éditions Les Nouveaux Auteurs.
Le Manuscrit oublié : E-book / France Loisirs.
Diplômée de la BEM (École de Management de Bordeaux), d’un DESS de Commerce International et d’un DECPF comptable.
Jobs à l’étranger permettant ainsi d’aller à la rencontre d’autres cultures (Espagne, USA, Mexique, Brésil…).
Membre de l’AEG (Association d’égyptologie de l’université de Bordeaux-3).
Cours d’égyptien classique à Bordeaux.
Cours de civilisation pré-hispanique au musée d’anthropologie de Mexico.
Coorganisatrice de la Biennale des littératures francophones d’Afrique Noire.
Claire Favan est née à Paris en avril 1976. Passionnée par la lecture, elle découvre très jeune les romans sur les tueurs en série.
Elle travaille dans la finance et écrit sur son temps de loisir. Elle prend contact avec les éditions Les Nouveaux Auteurs pour son premier livre. Essai transformé puisque Le Tueur Intime reçoit le Prix VSD du Polar 2010, le Prix Sang pour Sang Polar en 2011 et la Plume d'or 2014 catégorie nouvelle plume sur le site Plume Libre .
Le Tueur de l'ombre, son second roman, clôture le diptyque sur le tueur en série Will Edwards.
Elle participe aux recueils de nouvelles des auteurs du noir : santé! et Irradié.
Apnée Noire paraît aux Editions du Toucan en janvier 2014 et son quatrième roman, Miettes de sang, est disponible depuis le 21 janvier 2015.
Naissance le 17 Mai 1973 à Sainte-Marie-aux-Mines, dans le Haut-Rhin. Pour l’anecdote, il est l'un des derniers nés dans cette ville puisque la maternité a fermé quelques jours après (le 21, semble t il !)
Scolarité au Collège Reber et au lycée Louise Weiss de Sainte-Marie-aux-Mines.
De 1991 à 1996 : études à la Faculté de Lettres modernes de Strasbourg où Stéphane GERARD obtient un DEUG de Lettres modernes, une LICENCE de Lettres modernes, un CAPES de Lettres modernes (à 22 ans) et uneTitularisation en tant que professeur de Lettres modernes.
C’est à cette époque qu'il est affecté dans les Vosges et qu'il quitte l’Alsace, sa région de cœur dans laquelle il revient tous les week-ends, ayant de la famille à Chatenois et des attaches à Strasbourg.
De 1997 à aujourd’hui, Stéphane GERARD enseigne en lycée, d’abord à Neufchâteau, puis à Bruyères à quelques kilomètres de Saint-Dié, au lycée Jean LURÇAT où il est toujours en poste aujourd’hui : il a en charge une classe de 2nde et des classes de 1ères qui passent donc leur bac français à la fin de l’année scolaire.
Voilà pour le côté « local » et régional !
Pour le reste, Stéphane GERARD est rapidement passionné par les livres, les textes, et la littérature. L'envie d'être prof de Lettres lui est donc venue tout naturellement, et s’est confirmée après avoir lu Le Parfum de Süskind, en classe de 5ème.
Stéphane écrit en amateur depuis longtemps, des poèmes, et aussi des nouvelles : il fut d’ailleurs lauréat d’un prix régional de nouvelles en 2007, le prix François Jodin, pour une de ses nouvelles nommée Le K. des temps modernes (sur une cinquantaine de candidats). Ce prix, pour modeste qu’il soit, lui a alors donné courage et motivation pour poursuivre Thalamus, un thriller/roman d’anticipation qui était déjà entamé, et qui a été publié le 13 septembre 2012 et a obtenu le Prix du Salon Boulageois en 2013. Il en est à sa troisième réédition.
L’écriture de Thalamus a nécessité des recherches conséquentes et la consultation de nombreux documents, afin de permettre des personnages, des lieux, et une intrigue crédibles, vraisemblables, réalistes, permettant ainsi à tout un chacun de se sentir concerné, voire impliqué, par le côté « anticipation ».
Un recueil de poèmes, Les Abîmés, illustré par les œuvres d’un ami peintre, a été publié en 2013 aux Editions des Tourments : l’inspiration y est plus religieuse, spirituelle, gothique, avec des anges, des créatures…
Un deuxième roman, reprenant un des personnages-phare de Thalamus, est achevé et en attente de publication.
Page Facebook de Stéphane Gérard
A débuté sa vie professionnelle dans l’enseignement avant de rendre son tablier au bout de douze années de sacerdoce. Comme il en avait assez de corriger les copies de ses élèves, il s’est dit qu’il allait faire carrément autre chose.
Peine perdue, il corrige désormais ses propres fautes et celles de ses nouveaux collègues au sein de l’agence de promotion des livres qu’il a fondée avec deux amis. Correcteur, chroniqueur, rédacteur, organisateur d’événements littéraires… pas moyen de quitter les lettres, même si celles-ci sont désormais de noblesse.
Neuf romans publiés pour l’instant, certains d’une noirceur extrême, d’autres complètement déjantés, sous son nom ou sous d’autres.
A longtemps privilégié le polar avant de passer à la saga historique et au roman gore avec un détour par la case jeunesse afin de soigner son hyperactivité chronique. Surnommé « Henri III » pour sa capacité à enfiler les pages avec une constance qui force l’admiration.
Née en 1985 dans le sud de la France, Jennifer HOLPARAN a suivi des études universitaires de littérature, puis d'anglais, à Boston, aux États-Unis, où elle a puisé son inspiration pour ses romans mettant en scène ses héros Tim et Darcy. Journaliste, elle vit la plupart du temps à Metz, quand elle ne voyage pas pour son travail et ses recherches.
Bien décidée à devenir écrivain dès son jeune âge, Jennifer Holparan a d'abord dévoré les écrits de ses aînés. Jeune lectrice, elle correspondait avec l'écrivain anglais Anthony Horowitz, qui l'encouragea dans sa vocation. Plus tard, elle découvrira les romans de Stephen King, H.P. Lovecraft et Fred Vargas. Dennis Lehane aussi, bien entendu. Elle découvre Mystic River à Boston, et le couple Kenzie et Gennaro après la sortie de Cadaver Sancti : aucune influence donc, si ce n'est celle de Boston ... Jennifer est également friande de littérature plus classique comme John Steinbeck, Boulgakov, Robert Penn Warren, Dostoïevski et Thackeray, et d'essais sur l'histoire, la religion et la criminalité.
Fascinée par les grandes affaires criminelles et les tueurs en série, elle envisage un temps d'intégrer la Police Scientifique et passe de longs moments dans les laboratoires et les morgues, à l'écoute des professionnels. Ses autres passions, la religion et l'art sacré, l'entraînent, elles, souvent dans les églises (bien qu'elle ne soit pas pratiquante), les cimetières et les musées. Mais aucune inquiétude, l'auteur apprécie également la compagnie des vivants ! Jennifer profite de son temps libre pour voyager, assister à des événements artistiques, marcher dans la nature et regarder des séries et des films.
http://www.jennifer-holparan.fr
Nathalie est née à Nancy le 13 janvier 1970. Elle grandit vite. Si vite qu'elle est toujours la plus grande des filles de sa classe, à son grand dam. Les railleries des couillons, les moqueries, elle connaît. Mais à quatorze ou quinze ans, on ignore que ce que vous reprochent les gens sera plus tard ce qu'ils vous envieront.
Aussi Nathalie travaille t elle son gauche et devient la bête noire des cours de récréation. Dans l'intimité familiale, elle joue l'enfant modèle, cours de piano, danse classique, elle est l'aînée et doit montrer l'exemple.
Les années d'étude passent, la vie suit son cours, l'écriture y trouve sa place. Nathalie noircit des cahiers de poème, de nouvelles, de romans qu'elle fera lire à ses professeurs et à ses amis sans jamais penser à contacter un éditeur.
Et comme il faut gagner sa vie et qu'elle aime tout ce qui touche à la médecine, elle travaille pour l'industrie pharmaceutique d'abord comme déléguée médicale, puis comme responsable de formation du réseau et enfin comme directrice régionale: elle passe sa vie dans les hôtels, toujours entre deux avions, deux congrès, deux voyages ou séminaires …
… jusqu'à ce qu'un jour de novembre 2004 fasse basculer sa vie.
Jérôme est né le 10 septembre 1968 à Rueil Malmaison, mais il grandit à Angoulême où il fréquente successivement les écoles, collèges et lycées de Saint Joseph, Saint André, Saint Paul et Sainte Marthe, puis Paris pour y poursuivre des études de réalisation audiovisuelle.
Nous sommes alors aux alentours de 1991, Jérôme a vingt trois ans, il est plein d'idéal et se rend compte que le monde du travail, ce n'est pas du tout ce qu'il imaginait. Être assistant réalisateur ne lui plaît pas. Assistant opérateur non plus. Alors se succèdent d'autres essais, des petits boulots sans intérêt. Jérôme ne sait pas ce qu'il veut faire, mais il est certain de ce qu'il ne veut pas. Et c'est le hasard qui va s'occuper de trancher pour lui.
Une rencontre le fait entrer dans une production télé. Il se trouve que la moyenne d'âge n'excède pas trente ans. Que les patrons sont pleins de talent. Mais ne savent pas écrire, pas correctement. Jérôme a sa petite idée. Écrire, il aime bien. Les mots, il les maîtrise mieux que la vie. Au début, le travail d'écriture ne sera pas folichon. Des concepts d'émission de télé, des commentaires pour des documentaires, ce genre de choses, et puis arrive la première proposition d'envergure : un scénario de long métrage. Le scénario voit la jour, mais pas le film. Tant pis. L'aventure lui a donné le goût de poursuivre et puisque Jérôme est un solitaire et qu'il préfère compter sur lui-même, le roman est plus approprié. Et tellement plus tentant.
Malhorne est sur le point d'arriver. L'accouchement se passera dans la douleur - on ne s'attaque pas à ce genre d'entreprise sans y laisser des plumes - mais il se passera. La suite, vous la connaissez, ou vous êtes sur le point de la connaitre, des romans fantastiques, des thrilles et bien d'autres choses encore ...
Naissance à Firminy le 22 mars 1976.
Florent Marotta passe son enfance dans la Loire, dans une petite ville proche de Saint-Étienne. Il se met à lire sur le tard, préférant l’écriture et les histoires qu’il s’invente alors, empreintes de mondes et de créatures imaginaires. Il crée les personnages qui le font rêver, qu’il aimerait croiser.
Il admire au collège les enquêtes au climat si particulier d’Agatha Christie dont Dix petits nègres le font frissonner, et Sherlock Holmes parfois y pointe également le bout de son nez, plus tard apparaît Elizabeth George.
Sa scolarité est inégale, pour ne pas dire inachevée. Il met un point d’honneur à obtenir son baccalauréat littéraire bien des années après en candidat libre, sans réellement savoir pourquoi. C’est le début pour lui d’un goût certain pour le savoir. Florent Marotta est un autodidacte. Il préfère de loin apprendre ce qu’il veut comme il l’entend et perdre cinq euros en frais de retard à la bibliothèque qu’en une éducation inadaptée.
Il se met à écrire en 1997 à vingt et un ans. Un roman de fantasy, encore aujourd’hui inachevé, dont l’inspiration lui vient au gré des lectures des livres de Tolkien, Eddings, Grimbert, Jordan et bien d’autres encore.
Et puis il découvre la littérature noire, le polar et son cortège d’écrivains tous plus ingénieux les uns que les autres. Il débusque les « Séries noires » de Gallimard avec Carlotto, Shagan et Deming pour ne citer qu’eux. Une vraie saveur, du vrai noir. Il s’aventure aussi sur le terrain du thriller et du complot avec Umberto Eco, Dan Brown, Ian Caldwell et même Henri Lœvenbruck. Dans un autre genre Roger Jon Ellory le subjugue, Fred Vargas l’accompagne, Gillian Flynn le laisse perplexe et Pierre Lemaître pantelant.
Ses influences sont multiples et trahissent son désir de ne pas se cantonner à un seul genre. De ce mélange de saveurs est né son désir d’écrire, de raconter des histoires.
Le choix du thriller et du polar s’impose. Son expérience professionnelle y est probablement pour beaucoup. Il arpente les terrains de jeu pas toujours très reluisants du monde. Il est successivement militaire, soldat de l’Onu dans une ex-Yougoslavie agonisante, enquêteur en police judiciaire et maintenant il goûte une vie plus calme dans une mairie de la Loire.
Christophe MIRAUCOURT est né au siècle dernier et à ceux qui s’étonneraient qu’il ne soit pas encore en maison de retraite, il rétorque qu’ « écrire aide à rester jeune ».
Après avoir été instituteur puis instit’auteur, il est devenu, en écrivant des polars pour ados, « institutueur ». Heureusement, ses seuls crimes sont faits de pages et de mots, où l’encre de son stylo remplace le sang des victimes.
Depuis plus de quinze ans, il a publié une quarantaine de récits, en presse ou en édition pour la jeunesse (Le Père castor/Flammarion ; Pocket ; Milan ; Oskar jeunesse, Retz ; Lire c’est partir ; Rageot).
Son 1er polar, Ce que je n’aurais pas dû voir, publié dans la collection Heure noire de chez Rageot, a reçu 4 prix littéraires et fait partie de la sélection du prix Vendée Lire et du prix des collégiens du Territoire de Belfort.
Né à Lyon.
Découvre la BD avec Pif et Spirou. Mais c'est à 7 ans, en lisant Strange et les magasines des éditions Lug, qu'il rêve d'en faire un métier. Après des études aux beaux arts d'Angoulême et de graphisme publicitaire, il travaille comme illustrateur dans le domaine de la communication. Après des missions pour l'animation dans le story board, le layout ou la création de personnage, il fait ses premiers pas dans l'édition en illustrant plus d'une vingtaine de guides jeux pour Hachette jeunesse.
Tout en continuant dans la communication interne, il développe le projet d'adapter "La Trilogie du Mal" de Maxime Chattam en BD. Finalement c'est l'édition illustrée de "Autre Monde" qui verra le jour avant. Mais les 2 premiers tomes qui adaptent "l'âme du Mal" finissent enfin par sortir en bande dessinée.
Page Facebook de Michel Montheillet
Né le 2 août 1975, donc pas encore 40 ans…
Bac philo, Deug de droit.
Missions humanitaires pour Pharmaciens Sans Frontières : Guyane et Ex-Yougoslavie de 1993 à 1995.
Flic. D’abord Gardien de la Paix puis Lieutenant. Un peu de stups, un peu de crime, un peu de financière, un groupe de Section Enquête et Recherche axé sur les viols et les enlèvements avec ou sans demande de rançon et les tentatives d’homicides.
Mordu de cinéma, sans distinction de style ou de pays…
Fan de Vargas, de Dantec, de Ken Follett, de John Irving et Sallinger…
Née en 1975, Gaëlle PERRIN-GUILLET est secrétaire de mairie le jour et auteur de thriller la nuit.
Depuis toujours amatrice de romans noirs, elle s’essaie à l’écriture en 2000. Après deux romans auto-publiés (« Le Sourire du diable » en 2010 et « Au fil des morts »en 2011, repris par les éditions Nouvelles plumes en numérique), elle participe à trois recueils des « Auteurs du noir face à la différence » (en 2012 aux éditions JIGAL puis en 2013 ( Santé !) et 2014 (Irradié) à L’atelier Mosesu).
Son dernier roman, Haut le Choeur a obtenu le prix du polar 2014 Dora-suarez le blog et est publié aux éditions rouge Sang.
Page Facebook de Gaëlle Perrin
Elena PIACENTINI a passé toute son enfance et son adolescence en Corse, entre le maquis et les bras de sa grand-mère.
Ses études supérieures et sa vie professionnelle l'obligent à traverser la Méditerranée pour un périple toujours plus septentrional. Nice, puis la Normandie, Paris, et enfin Lille, où elle s'installe en 2003.
Elle propose en 2008 son premier roman policier, commencé deux ans plus tôt, aux éditions Ravet-Anceau : Un Corse à Lille. C'est le début de sa collaboration avec cet éditeur, et le livre connaît un succès immédiat. Un Corse à Lille présente son personnage fétiche, Pierre-Arsène Leoni, policier insulaire émigré dans le Nord en compagnie de sa grand-mère. Toute ressemblance avec l'auteur est la bienvenue.
Ce premier roman pose les bases de l'univers romanesque d'Éléna Piacentini : des intrigues tortueuses aux ramifications entremêlées ; une écriture d'une grande rigueur stylistique, au vocabulaire précis et choisi ; un art consommé de la description et de l'analyse de ses semblables.
Avec une régularité de métronome, elle poursuit un temps les pérégrinations de son flic ténébreux chez Ravet-Anceau : Art brut sort en 2009, et Vendetta chez les Chtis en 2010.
En 2012 le quatrième opus des enquêtes de Leoni, Carrières noires, est édité chez l'éditeur parisien "Au-delà du raisonnable".
La même année 2012, elle participe au recueil caritatif Les auteurs du noir face à la différence, chez Jigal, et en collaboration avec Yves Godderis, chercheur au CNRS, dans le cadre de l'association Novela, elle écrit une nouvelle policière et scientifique dans le recueil Laboratoires du noir.
La suite des aventures Pierre-Arsène Leoni, sortie en 2013, intitulée Le Cimetière des chimères remporte en 2014 le prix Calibre 47 et le prix Soleil noir.
Des forêts et des âmes, sixième roman de la série, sort en juillet 2014, toujours aux éditions "Au-delà du raisonnable".
Page Facebook d'Elena Piacentini
Claude Poux vit en Bourgogne et est chef d’entreprise dans le domaine des nouvelles technologies.
Passionné de littérature, de cinéma et de bande dessinée, il écrit d’abord des nouvelles avant de commencer un premier roman en 1998, suite à une hospitalisation et une convalescence qui l’oblige à rester en position couchée pendant quelques semaines.
Cette première histoire, en partie autobiographique mais guère maitrisée, lui prouve qu’il a la capacité à écrire des histoires longues. Après quelques années, il décide de persévérer et commence l’écriture d’un deuxième roman, cette fois-ci policier. Son côté cinéphile et amateur de polars l’incitent en effet à s’essayer au genre, à la fois pour la construction et l’intrigue, mais également pour le souffle et l’épopée qui s’attache aux personnages.
« Le silence des sentinelles » fait partie de la sélection finale du Prix du Quai des Orfèvres 2008 et c’est une maison d’édition parisienne, Atelier de Presse qui publie donc ce premier roman en 2008. Alors qu’il envisage d’écrire une toute autre histoire, les commentaires et appréciations des lecteurs qui lui réclament une suite, le poussent à reprendre ses personnages et à les rendre récurrents dans une trilogie policière.
« La dernière seconde avant de mourir » sort en 2011 chez Bleu47 et obtient de très bonnes critiques auprès des blogs spécialisés polars.
Avant d’écrire le troisième volet de la trilogie, Claude Poux décide de finir son projet de roman choral et se plonge avec délectation dans une histoire d’amitié qui réunit une bande d’étudiants trente ans plus tard, à l’occasion d’un week-end de retrouvailles. « Tout sauf jubilatoire » est publié en 2013 chez Bleu47 et surfe avec bonheur sur la nostalgie des années 70-80, tout en analysant sans concession les affres du temps qui passe et la fin des illusions.
Claude Poux a également écrit le scénario d’une bande dessinée historique « Le Chevalier de Mort-Blanche » qu’il espère publier prochainement.
Il vient de terminer le manuscrit du troisième opus de sa trilogie, un roman noir intitulé « Nazca ».
Eric ROBINNE a 59 ans, marié, 3 enfants.
Ingénieur Agricole (Beauvais)
Directeur des restaurants administratifs de la Ville de Paris sous contrat de droit privé
Il partage ma vie entre le sud de la Drôme et le Vaucluse où il demeure (Bollène), le week-end, et Paris où il travaille dans la semaine.
Eric ROBINNE est amateur de sports variés en spectateur : rugby, tennis, natation, vélo, athlétisme…
Il pratique le footing (nombreuses courses locales, Marseille-Cassis, Paris-Versailles et semi-marathon de Paris…), et la randonnée en montagne.
Il est amateur de films d’actions, d’aventures, policiers, fantastiques… au cinéma
C'est un lecteur assidu de romans policiers ou d’espionnage : Thilliez, Mankell, Indridason, Larsson, Vargas, Coben, Connelly, Meyer, Kellerman, Grangé, Tabachnik, Haider, Clancy, Collins, Camut et Hug, Kallentoft, Maitre, Souvira, Minier, Favan, Giebel, et bien d’autres.
Il est aussi lecteur de littérature plus générale : D’Ormesson, Giesbert, Onfray Carrère…
Lecteur de journaux d’information générale et de revues spécialisées (Science et Vie…)
Eric ROBINNE a écrit de très nombreux poèmes dans sa jeunesse dont il ne reste presque rien.
Il s'est lancé comme auteur de romans policiers en 2005, suite à un défi lancé par son fils à savoir « écrire un scénario ». Après une centaine de pages, il a dû se rendre compte qu’il s’agissait d’un livre… Une fois terminé, le manuscrit est passé de mains en mains en recevant de nombreux encouragements. Mais il n’a jamais séduit d’éditeur. Jusqu’à ce qu’il soit adressé au concours du Prix des lecteurs du club France Loisirs, sur les conseils de son épouse.
En septembre 2013, « Le Silence des loups » a obtenu le Prix des lecteurs France Loisirs, en arrivant 1er sur 1200 manuscrits.
Depuis, deux autres romans sont parus au club : Jeux fatals, et Joue et sèche tes larmes.
Nicolas ZEIMET est né en 1977 et vit à Paris. Son premier roman, Déconnexion immédiate, a paru en 2011 chez Mon Petit Éditeur. Après Seuls les vautours, lauréat du Prix Plume d'Or 2015, il publie Comme une ombre sur la ville aux Éditions du Toucan.